Le 18 décembre 2024, organisations et collectifs ont déclaré : « Nous ne voulons pas d’une société raciste. Ensemble, construisons la société dans laquelle nous voulons vivre, une société de tous les droits pour toutes et tous, une société de solidarité, de fraternité, de justice, et de respect des libertés. »
#22MARS Journée mondiale contre le racisme et le fascisme
Par les cadres de la MARCHE DES SOLIDARITÉS et Né-e-s ici ou venu-e-s d’ailleurs. Le 24 février 2025.
Décisions sur la logique générale de mobilisation à l’échelle nationale
Pousser vers une mobilisation la plus large possible pour le 22 mars, dans une logique d’unité construite autour de la lutte et tournée vers l’action. Ainsi les cadres de mobilisation du 22 mars doivent impliquer tout le monde et être construits dans une logique de préparation de cadres de lutte pour l’égalité des droits de toutes et tous, contre le racisme et contre le fascisme, qui iront au-delà du 22 mars et de renforcement des luttes actuelles autour des collectifs de sans-papiers, de mineur.e.s isolé.e.s en lutte, de familles migrantes, de personnes immigré.e.s, etc.
À destination des collectifs de toutes les villes et régions
– Il a été rappelé par les organisations des deux cadres qu’il fallait favoriser partout le travail unitaire le plus large possible. S’il y a des difficultés dans un cadre de mobilisation locale, contactez-nous pour que nous puissions aider dans ce sens.
– Une rencontre est organisée avec LFI mercredi 26 février, avec des représentant.e.s d’organisations des deux cadres pour favoriser l’unité large et faciliter les actions communes.
Voici les appels des deux cadres de mobilisation
Samedi 22 mars, journée mondiale contre le racisme et le fascisme
L’heure de la riposte
Le 18 décembre 2024 lors du meeting de lutte organisé à l’occasion de la Journée Internationale des Migrant.e.s, nos organisations et collectifs ont déclaré : « Nous ne voulons pas d’une société raciste. Ensemble, construisons la société dans laquelle nous voulons vivre, une société de tous les droits pour toutes et tous, une société de solidarité, de fraternité, de justice, et de respect des libertés« .
Un appel international a été lancé pour une journée mondiale de manifestations contre le racisme et le fascisme : “Nous appelons les progressistes de la planète, individus comme mouvements, toutes celles et tous ceux qui s’opposent au racisme et au fascisme, à se mobiliser pour construire une riposte unie à une menace mortelle pour nous toutes et tous.
Nous devons affronter et vaincre ceux qui promeuvent la haine et la division et le faire avec de larges mouvements fondés sur la diversité, la solidarité et l’unité.
Nous appelons à une journée mondiale d’actions contre le racisme et le fascisme, dans les villes du monde entier, au nord comme au sud, samedi 22 mars 2025 et autour de cette date, à l’occasion de la Journée internationale contre le racisme.
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Pour lire la suite de l’appel, le signer, voir la liste des signataires…
Né-e-s ici ou venu-e-s d’ailleurs, uni-e-s contre le racisme !
Appel collectif
Le 18 décembre 2024, lors d’un meeting pour la Journée internationale des migrants, nos organisations et collectifs ont déclaré :
« Nous ne voulons pas d’une société raciste. Ensemble, construisons la société dans laquelle nous voulons vivre, une société de tous les droits pour toutes et tous, une société de solidarité, de fraternité, de justice, et de respect des libertés » .
Cette déclaration commune est plus que jamais d’actualité face aux attaques renouvelées contre les personnes étrangères avec ou sans papier, d’origine étrangère ou présentées comme telles.
Nous voulons, pour nous comme pour nos voisin-e-s, collègues de bureau, d’atelier, nos camarades d’amphi, pour notre médecin, notre boulangère, pour la copine ou le copain de classe de nos enfants… une réelle égalité des droits.
Nous ne concevons pas la société autrement que dans la fraternité qui est marquée sur le fronton des édifices publics, aux côtés de la liberté et de l’égalité. Nous ne concevons pas la société autrement que rassemblée par l’accès effectif à tous les droits, pour toutes et tous.
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