Le 4 mai 2024 à Paris, s’est tenu un Forum-débat pluraliste sous l’intitulé : « L’Europe, parlons-en ! ». Un succès politique montrant qu’à une plus grande échelle, le débat pour l’Europe était possible à l’initiative de la NUPES tout entière, élargie aux forces citoyennes et aux apports intellectuels.

Nous avons parlé d’Europe !

Par collectif unitaire, le 21 mai 2024.

  • Nous avons construit ensemble un rendez-vous de débat et de propositions détaché des enjeux électoraux.
  • Avec les voix venant de : Alternative communiste, Allons-Enfants, Archipel des confluences, Europe Écologie-Les Verts (EELV), ENSEMBLE!, France Insoumise, Gauche démocratique et sociale (GDS), Génération·s, Nouvelle Donne (ND), Nouveau Parti Anticapitaliste (NPA), Parti communiste, Parti socialiste, Pour une écologie populaire et sociale (PEPS), Vert·es Unitaires, des syndicalistes (dont CGT et FSU), des responsables associatifs (dont la fondation Copernic, Notre Santé en danger), des économistes, des journalistes, des sociologues et politistes.
  • Ont pris la parole : Etienne ADAM, Christian BELISSON, Manu BICHINDARITZ, Laurence BOFFET, Jean-Claude BRANCHEREAU, Alexis CORBIERE, Dieynada DIOP, Ian DUFOUR, Penny DUGGAN, Guillaume DUVAL, Gérard FILOCHE, Raquel GARRIDO, Jérôme GLEIZES, Pierre KHALFA, Romain JEHANIN, Marjorie KETTERS, Pierre LARROUTUROU, Patrice LECLERC, Erwan LECOEUR, Matthieu LEIRITZ, Ziad MAJED, Philippe MARLIERE, Roger MARTELLI, Benoît MARTIN, Nina MOREL, Françoise NAY, Jean-Marie PERNOT, Catherine SAMARY, Denis SIEFFERT, Ritchy THIBAULT, Marie-Christine VERGIAT, Marie-Pierre VIEU, Patrick VIVERET.
  • Nous avons voulu prendre date avant le scrutin du 9 juin pour discuter les convergences dans les cultures de gauche et écologistes, et les apports politiques des mouvements sociaux et citoyens. Il ne s’agissait pas de prendre position sur les listes en compétition, mais de rassembler les réflexions qui s’expriment sur ce sujet, parfois depuis longtemps, y compris venant de chercheurs·euses ou d’économistes.
  • Notre but a été de dégager du positif, tout en traitant de manière responsable les différences et divergences :
      • L’ambition d’une Europe politique unie et de progrès humain à l’opposé de la concurrence « libre et non faussée ».
      • Construire des États-Unis (fédérés ou confédérés) d’Europe favorables aux peuples, aux droits humains dans les migrations, au salariat, à la jeunesse et au monde agricole. Avec une architecture démocratique imaginée pour que les citoyennes et citoyens s’emparent des décisions.
      • Imposer des droits alignés vers le haut ; Résister aux directives qui mettent en cause les droits sociaux ou obligent à généraliser la concurrence des services publics.
      • La dimension continentale est une bonne échelle pour une bifurcation écologique et la préservation de la biodiversité : progresser vers une agriculture agroécologique et une industrie décarbonée.
      • Empêcher la montée des extrêmes droites, faire face aux poussées nationalistes identitaires, construire une solidarité concrète pour faire respecter le droit des peuples à disposer d’eux-mêmes (Ukraine, Palestine), reconnus et respectés internationalement.
  • Le 4 mai était une étape pour construire une alternative progressiste et durable.
Contact : [email protected]

À celles et ceux qui ont participé à cette journée, mais aussi à celles et ceux qui n’ont pas participé, nous proposons de retrouver, en vidéo, les principaux temps forts.

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Pour commencer, les éclairages conclusifs de Marie-Christine Vergiat ex-députée européenne et militante associative – et de Roger Martelli, historien, média Regards

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Unitaire à gauche, table-ronde

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Où en est l’Europe face à la menace d’extrême-droite

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L’Europe sociale, comment ?

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Bifurcation écologique